La mer est pleine de plastique, on refoule les gens aux frontières d’un tas de Pays,
l’argent reste le monarque roi qui règne sur les relations entre les pays et entre les hommes.
Certains osent même légiférer pour transformer la solidarité en délit.

On continu à mourir de faim dans un tas de pays, alors qu’il y a de quoi nourrir
tout le monde sur terre et qu’on jette, dans les pays dit avancés, beaucoup trop !
On arrache à tour de bras la forêt un peu partout et on déverse sur la terre, un
tas de polluant, issus de l’industrie de la guerre, qui elle aussi prospère.

Pourtant, en chacun siège un rêve de paix, de tranquillité, de fraternité et d’amour.
En chacun bas un cœur, gros comme ça, prêt à aider son voisin et à embrasser la terre entière.

Mais d’où vient donc ce décalage ?

Nous nous croyons séparés, les uns des autres et séparés aussi de la nature,
alors que nous ne sommes qu’une seule et même entité,
un seul et même cœur.

Ce que nous donnons à la nature et aux autres,
c’est à nous même que nous le donnons.

Changer le monde commence par là,
changer de regard et l’appliquer dans notre vie
chaque jour, chaque seconde …

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