La nature a parlé et tout le monde s’est tu.
En cet instant particulier, tout le monde écoute,
car tout le monde le sait,
c’est elle qui dirige, c’est elle qui aura le dernier mot.
Pourtant dés le cyclone passé, la frénésie humaine reprend
avec son rythme insoutenable d’activités.
Qui se soucis alors encore de la nature ?
Pourquoi est-ce seulement quand la nature gronde
que nous nous arrêtons tous pour l’écouter,
sensibles alors à ses moindres mouvements ?
Pouvons nous considérer la nature
quotidiennement pour ce qu’elle est,
le berceau de notre humanité ?
Celle là même qui nous nourrit un peu chaque jour
et qui parfois reprend en un seul coup, ce qu’elle nous à offert .
Lov’earth,
and humanity like a piece of the universe
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